Le livre de Waldemar Ceran est la première approche monographique de l’histoire d’Antioche sur l’Oronte écrite en polonais. Publié en 1969, l’ouvrage a suscité des commentaires critiques favorables et a été intégré dans le circuit scientifique polonais, dans une moindre mesure dans les pays de langues slaves, et généralement inconnu ailleurs. C’est essentiellement pour cette raison qu’il apparaît à présent dans la traduction française.
de l’introduction
La qualité de l’ouvrage débattu est une certitude par cette forme peu commune de porter à la connaissance et par cette narration présenteé couramment. D’une façon claire, simple et communicative, en même temps, compétente et en toute conaissance des choses, l’auteur donne une relation du contenu débattu, renonce à cette prédilection préférée de maints chercheurs contemporains pour une terminologie compliquée farcie de néologisme et de termes des langues étrangères. Il enlace adroitement dans sa dissertation des textes des sources, grâce auxquels, il prèsente une image vérédique de cette réalité soumise à des recherches évitant une présentation historique. Grâce à cela, la lecture de cette monographie devient compréhensive, intéressante et franchement passionnante même pour un lecteur moyen.
de la recension du professeur Piotr Szczur
Les collègues historiens de l’antiquité de ma génération connaissent bien et se rappelle bien cette dissertation sur les habitants d’Antioche. Un bon nombre d’entre nous l’ont introduite dans les lectures conseillées aux étudiants avant l’examen concernant l’histoire ancienne. Chaque historien de l’antiquité, en écrivant sur la société de l’Etat romain tardif faisait appel au richissime matériel y rassemblé. À cause de la langue, elle n’était pas toujours accessible aux historiens du dehors de la Pologne. C’est un dommage car, déjà en 1969, elle aurait dû se trouver présente dans tous les ouvrages consacrés à l’histoire de l’antiquité tardive.
de la recension du professeur Jan Iluk